L’année 2025 débute bien au ministère de la communication en charge des médias. Le sport étant un événement fédérateur et contributeur de cohésion social, « La Nuit du Maracana » à Dianra, 515 Km d’Abidjan était un rendez-vous à ne pas manquer ce 11 janvier en cette année électorale pour la Côte d’Ivoire. Les 22 et 23 janvier, Amadou Coulibaly a pris part, au Maroc, à la 8ème Assemblée Générale de la Fédération atlantique des agences de presse africaines (Faapa). Compte rendu.
Les weekends sont toujours bien politiquement chargés pour le porte-parole du gouvernement, avant tout un acteur de terrain. Le pays attendant une importante élection présidentielle cette année, des détours sur le terrain deviennent incontournables. Le week-end du 12 au 13 janvier, après avoir reçu l’Association des ressortissants Gouro de Korhogo (Argk), Amadou Coulibaly a eu le plaisir d’accueillir l’Association des hommes et femmes des médias de korhogo (Ahfmk), venue elle aussi honorer la belle tradition de présentation des vœux pour la nouvelle année. Ces échanges chaleureux ont été l’occasion de renforcer les liens qui les unissent et de partager des perspectives optimistes pour l’année à venir. La veille, Amadou Coulibaly était en plein « Maracana » toujours à 515 km d’Abidjan, à Dianra.
Sport fédérateur
Le samedi 11 janvier 2025, à l’invitation de l’honorable Gnangadjamon Koné, Amadou Coulibaly a participé à la 12ᵉ édition de « la Nuit du Maracana » à Dianra (514 Km d’Abidjan), organisée par le comité sportif local. Cet événement, devenu une tradition dans le département, a rassemblé une foule enthousiaste venue de tous les villages environnants, ainsi que de nombreux cadres de la localité. « La Nuit du Maracana » a une fois de plus prouvé son importance pour la cohésion sociale. À cette occasion, Amadou Coulibaly a fait don de deux motos aux comités locaux sportifs ainsi que de 4 ordinateurs au collège et au lycée moderne de Dianra et d’une photocopieuse à grand tirage. « Ma présence à Dianra m’a donné l’occasion de me rendre à Gominasso dans la sous-préfecture de Dianra où nous avons reçu un accueil des plus chaleureux des populations avec à leur tête le grand iman Lacina Cissé, président du Cosim local et fils du très respecté Imam Ibrahim Cissé. » a déclaré, satisfait, Amadou Coulibaly. Un autre événement phare qui a marqué ce mois de janvier, c’est le voyage au Maroc où le ministre en charge des médias prendra part à la 8e Assemblée générale de la Fédération atlantique des agences de presse africaines (Faapa).
A l’invitation du royaume
Sur invitation de Mohamed Mehdi Bensaid, ministre de la Jeunesse, de la culture et de la communication du Royaume du Maroc, le ministre ivoirien de la Communication et Porte-Parole du Gouvernement, a participé à la 8ème Assemblée Générale de la Fédération atlantique des agences de presse africaines (Faapa). Cette assemblée s’est tenue du 22 au 23 janvier 2025 à Rabat/Salé, au Maroc, autour du thème : « Les agences de presse africaines, levier de promotion sanitaire du continent ». A cette occasion, les directeurs généraux des agences de presse africaines ont exploré, aux côtés d’experts des médias et de santé, ainsi que d’éminentes personnalités de divers horizons, les voies de promotion et de renforcement de la souveraineté sanitaire africaine afin de mieux faire face aux chocs futurs. Le développement de la souveraineté sanitaire à l’échelle continentale représente un défi majeur qui interpelle toutes les forces vives du continent, dont les médias, et notamment les agences de presse nationales, pour œuvrer ensemble à relayer des informations fiables, lutter contre les fake news et sensibiliser le public quant aux questions de santé publique, dans le cadre d’une approche de coopération et de développement commun. A cet effet, la séance d’ouverture de cet événement fut l’occasion d’approfondir la réflexion à travers un panel qui s’est tenu sous le thème: « Le rôle des médias dans la gestion des crises sanitaires en Afrique ».
La Faapa est conçue comme un espace de réflexion sur l’avenir des agences de presse africaines et sur le rôle qu’elles doivent jouer au 21ème siècle dans leurs diversités et leurs spécificités respectives, en tenant compte des profondes mutations qui caractérisent le paysage médiatique dans le contexte de la mondialisation et à l’ère du multimédia.
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